There and Back Again
Déjà premier truc les ressources. L’age aidant, le RMI tombe et c’est bien.
Ca permet de s’affranchir un peu des parents. Puis la recherche ce fait, celle du premier emploi.
Entretien sur entretien, et, bon quelques fois on se dit que l’on ne peut pas faire ça mais que bon faut bien essayer.
Les tentatives infructueuses et les faux espoirs sont vite balayés par un vrai emploi.
Celui ou on est derrière un PC. Un emploi, pas un travail.
Pas trop de pression, un peu de déplacement en voiture, voir même une fois une semaine sur les routes.
Fatigue, un peu de voyage et bon ça vas. Enfin le truc a ne pas dire, parler de sa maladie.
Oui rien pas un mot. Juste le matin je ne prends pas de café. Et ça fait déjà bizarre.
Merci la mentalité, celle qui fait que la différence, même minime est un putain d’handicap.
Bref Le rythme est pas vraiment celui d’un forçat, sauf peut être celui des transports.
Une heure le matin et jusqu a une heure trente le soir.
Mais ça passe, la vie deviens même chaotique des fois et pourtant tout tiens.
Je me prends même à oublié que je suis malade, et c’est toujours un bonheur en faites de ce coté.
« Il n’y a rien de constant, sauf le changement » Boudha, il avait bien raison tiens.