Le plus dur, c'est la chute
Je pensais aux sentiments que l'on à et a cause d'un collègue. Récément , il a eu pas mal de haine. La Haine , un sentiment qui nous permet de reporté nos aprèhensions et nos peur sur une chose.
Mais avec l'épilepsie, comment peut t on faire ? Qui ou quoi blamer?
Les parents, une personne, un appareil mal réglé , un système, une entreprise , Céline Dion (oui bon ok un peu) ou même soi ?
Rien, la majorité du temps, rien. Et ce sentiment peut être la longtemps. Une haine simple qui devient complexe. On hait ceux qui peuvent boirent, ceux qui peuvent faire plein de choses. Et finalement c'est juste nous que nous haissons.
On s'enferme, vie loin des autres , ont mets les autres hors de ça vie, par haine peut être. Car ils ne « peuvent pas comprendre »!
Ce qui est vrai au final. Comment comprendre une personne qui est malade depuis 15 ans , jour après jour. Un Cancer dure moins longtemps le plus souvent. Même si on est face a la mort, c 'est pour eux un 100 m. Pour nous c'est un marathonavec chaque pas qui compte.
Donc sur le coup cette haine, on la garde pour nous, et c'est au final destruteur.
J'ai appris à la controler , à la gérer et a la maitriser. Au final je n'ai plus ce sentiment d'injustice en me disant que les autres sont mieux. Non je n'envie pas leur vie car dès fois, elle est pire derrière. Une jolie fille m'as dit une fois envier ma vie. Ma réponse a été que « moi je ne l'envie pas et que je ne pourrais pas la donner »
Effectivement , je voyage, rencontre plein de monde, voit plein de choses. Mais vie avec cette idée de marathon, que le prochain pas sera Fatal peut être. Alors , sans envie, je profites un maximum, pour ne pas avoir de regret un jour. Ca sera déjà ça de gagner.
J'ai peut être un regret, c'est de ne pouvoir faire entrer personne dans ma vie a cause de ça.
Une envie de ne pas blesser, de ne pas ce faire hair par les autres.
En faites au final, cette décision inconscient ne blesse que moi. Au fond , je crois que je suis d'accord avec ça mais je me hais par la même occasion.
Ambivalence, quand tu nous tiens.